A la redécouverte du patrimoine vivant.
Le savon de Marseille traditionnel aura traversé les siècles et survécu à toutes les tourmentes de l’histoire, résistant aux lessives et autres produits chimiques des temps modernes, il est aujourd’hui redécouvert pour ses multiples usages et pour sa qualité naturelle. C’est en compagnie de Serge Bruna, en la "Savonnerie de La Licorne" du Cours Julien que nous allons à la rencontre d’un produit légendaire qui a su conquérir le monde.
Au commencement était une barque...
Nicolas Imbert est un homme heureux, chaque jour une flottille de navettes sort de son four pour le plus grand bonheur de ses clients. La plus vieille boulangerie de Marseille dont il est responsable, fête cette année son deux cent trentième anniversaire. C’est en ce lieu que sont fabriquées dans le secret les fameuses navettes de St-Victor. Portrait-interview d’un homme qui conjugue son métier avec la passion d’un savoir-faire inscrite dans la lignée de ceux qui l’ont précédé.
Le quartier La viste vue par la présidente du Centre Social
Après vingt ans de bons et loyaux services, Maria Thieule liquidait les actifs de son tabac-presse. En résidence au 38 sur la même période, c’est une présidente du Centre Social avertie qui nous fait part de la situation du quartier, de la paupérisation de la cité et des différents clivages. N’habitant plus à La Viste aujourd’hui, elle reste attachée à ce quartier qu’elle aime, et dont le côté village où beaucoup de gens s’entraident malgré les difficultés, lui manque. Alors, elle y passe ses journées et oeuvre au quotidien pour plus de mixité !
Koinai - Bonjour, pouvez-vous vous présenter ? Khaled - Bonjour, je m’appelle Khaled. Je suis d’origine Kurde syrien et je travaille comme infographiste depuis 2001. K. - Depuis combien de temps êtes-vous en France (...)
Koinai - Pouvez-vous vous présenter ? Monique Khezziri - Moi, c’est Madame Monique Khezziri, présidente de l’amicale des locataires de la cité Consolat depuis 1994. Notre activité, c’est l’amélioration du cadre de vie, (...)
Koinaï - Pourriez vous commencer par vous présenter ? Belladj Blida - Belladj Blida, j’ai l’épicerie depuis que j’ai fait l’ouverture en décembre 91. K. - C’est vous qui l’avez créé ? B.B. - Non, c’était déjà un magasin (...)
Koinai - Pouvez-vous vous présenter ? Kaina Tekki - Je suis Kaina Tekki, et je fais partie d’un groupe de femmes qui se réunit régulièrement au centre social. K. - D’après vous, quelles sont les populations qui composent (...)
Koïnai - Pouvez-vous commencer par vous présenter ainsi que la Designothèque ? Maxime Paulet - Bonjour. Je suis Maxime Paulet, je suis designer de mobilier espace. Je suis arrivé sur Marseille en 2007 après avoir (...)
Koinai. - Pouvez-vous commencer par vous présenter ainsi que votre atelier ? Gabi Wagner. - Je m’appelle Gabi Wagner et mon atelier est au 23 rue Léon Bourgeois. C’est un atelier de gravure et je suis dans le quartier (...)
Koinai - Pouvez vous présenter, nous dire ce que vous faites dans la vie, vos activités... Si vous êtes originaire de Marseille ? Christian Théry - Christian Théry, je ne suis pas originaire de Marseille, je suis né (...)
K. - Pour commencer, est-ce que vous pouvez vous présenter ? Jérémie N’tsaï - Oui, Jérémie N’tsaï , je suis le directeur de l’école La Viste Bousquet depuis septembre 2010. J’ai demandé à être dans cette école et je suis très (...)
Koinai – Est-ce que vous pouvez vous présenter ? Jean-Luc Coudène - Moi, c’est Monsieur Coudène, président de l’association "Mieux vivre à La Viste", et je suis chef de chantier dans une entreprise de travaux publics, (...)
Koinai. - Alors, pour commencer, est-ce que vous pouvez vous présenter, nous dire ce que vous faites dans la vie ? Corinne Beigbeder - Je m’appelle Corinne Beigbeder, je suis habitante au 38 La Viste, j’ai trois (...)
Koinai. - Pouvez-vous vous présenter, ainsi que votre mission ? Olivier Briard - Olivier Briard, proviseur du lycée Saint-Exupéry depuis peu, et également président du GRETA, de la formation continue du GRETA Marseille (...)
Koinai - Pouvez-vous vous présenter ? Houcine Khatem - Je m’appelle Khatem Houcine, je suis commerçant de quartier, j’ai une épicerie, depuis trois ans. Et j’habite juste au dessus du magasin, depuis un an. K. - (...)
Koinai - Pouvez-vous vous présenter ? Karim Mahi - Je m’appelle Karim Mahi, j’habite au quartier depuis vingt ans. Je suis éducateur au groupe sportif Consolat, je m’occupe des petits de treize, quatorze ans et je suis (...)
Koinai - Pouvez-vous vous présenter ? Monsieur Zahra - Je m’appelle Monsieur Zahra, je suis le "Fruits et légumes" de la résidence. J’habite ici. K. - Le quartier a-t-il beaucoup changé depuis les dix ou quinze (...)
K. - Pouvez-vous vous présenter ? A A. - Moi, c’est Aklé Azegah. Je suis animateur sur le centre culturel. Nous dépendons de la mairie de secteur des XVIe et XVIe arrondissements, donc notre salle est pour tous les (...)
Koinai - Pouvez-vous vous présenter ? Juliette Roux - Je fais partie de l’association de défense des locataires, la CNL. Je suis Mourepiane 1, les maisons en pierre de la SNCF, parce que la présidente, Mme (...)
Koinai - Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter ? Emmanuel Suzanna - Emmanuel Suzanna, je suis directeur de l’école Saint-Louis Consolat Elémentaire, depuis six ans. K. - Habitez-vous le quartier ? E S. - Non, non. (...)
Koinai - Pouvez-vous nous présenter Arènes ? Karine Besse - Arènes est une structure dont l’objet social est de faire avancer et de développer la démocratie locale, et de mettre en oeuvre, d’évaluer, d’élaborer des (...)
Koïnaï - Voulez-vous commencer par vous présenter ? Alain Boggero - Je m’appelle Alain Boggero. Je suis né à La Seyne-sur-Mer, à côté de Toulon. Ça fait douze ans que je suis à Marseille. Mon atelier se trouve au 118 rue (...)
Koinai - Pourriez-vous commencer par vous présenter ? Fabien Rugi. - Je m’appelle Fabien Rugi, j’ai trente-cinq ans, je suis né à Marseille. Je suis le responsable de "La Boîte à Sardine" qui se situe au 7 boulevard de la (...)
Koinai : Présentez-vous à nous. J’suis Simone, 64 ans. K : Vous avez été gardienne aux calanques de Sormiou... De ’94 à 2006, pendant 13 ans. K : C’était avec votre mari ? Ah oui, on n’peut pas être seul, on n’peut pas (...)
Koinai : Ma question concerne le raffinage du sucre. Quelle différence il y a, entre le sucre blanc et le roux ? Alors, je vous dirais que le sucre roux est naturel, diététique, pas transformé. Seulement, le sucre qui (...)
K : Comment a été créée l’association ? Jean-François Mauro : L’association a été créée il y a plus de 40 ans maintenant, en 1972. Pour refaire un peu d’historique, dans les années 60/70, la zone de Fos a connu une forte (...)
Koinai : Présentez-nous votre association. Daniel Moutet : Notre association s’est créée en 2003, essentiellement pour combattre GDF. La venue de GDF sur la plage du Cavaou pour nous c’était dramatique, c’était la perte (...)
K : Est-ce que vous pouvez vous présenter ? Moi, je m’appelle Cynthia Lopuszanski, je suis gérante de cette boutique depuis un peu plus de cinq ans maintenant. Voilà... je suis d’une famille de pêcheurs et de commerçants (...)
Koinai : Dis-moi où tu es né ? Je suis né à Bogotá, en Colombie, année 78, voilà, je suis né le 7 juillet. K : Tu es resté longtemps là-bas ? Non, en fait j’ai pas mal bougé depuis que je suis petit. A l’âge d’un an, j’ai (...)
K : Présentez-vous, pour commencer, tous les deux. Germain Hild. - Je m’appelle Germain, ça fait trois ans que je suis dans la mécanique, en particulier basée sur les Vespas : l’ancienne mécanique, quoi. A force de (...)
Koinai : Bonjour KTee. Aujourd’hui, à l’ère des préoccupations écologiques, au niveau mondial, nous tenons à vous remercier pour cet entretien... Pour commencer, quel est l’objet de votre association, "Roule ma frite" ? (...)
Koinai : À quand remonte votre plus vieux souvenir d’enfance lié à l’activité de jardinerie ? Vous pouvez nous en parler ? Greg et Mickaël : On était petits, notre mère bouturait déjà des plantes ; chez l’un ou chez (...)
...J’ai été très surpris par exemple, dans la dernière expo, j’aurais jamais cru... Parce que moi je suis un petit peu au niveau de l’artisanat, pour moi c’est avant tout des bouts de ficelle, des bouts de tissu, de la (...)
I - ARTICLES COMPLEMENTAIRES Extraits d’articles reprenant les thèmes de l’ensemble des articles de la rubrique "Ecologie et Recyclage" : Les grands principes fixés par la loi du 13 juillet 1992, et notamment la (...)
I - Articles complémentaires sur deux activités : l’industrie du savon de Marseille et la fabrication du chocolat 1. Histoire du savon de Marseille Le savon de Marseille, ce « cube » composé à 72% d’huiles, est utilisé (...)
COMPLÉMENTS I - Articles complémentaires Manger n’a rien de banal : il s’agit d’incorporer en soi un élément étranger. Or le mangeur, en définitive, "devient ce qu’il consomme", en intégrant les qualités physiques, morales, (...)
COMPLÉMENTS DE LA RUBRIQUE "ETRE UNE FEMME AUJOURD’HUI" I - INFORMATION Articles complémentaires sur l’égalité entre hommes et femmes : Au niveau international, l’égalité de droits entre les hommes et les femmes, fondée (...)
Koinai : D’où êtes-vous originaire ? Je suis originaire de la province de Trévise, en Vénétie. Je suis issu d’un milieu paysan. K : Vous êtes né en 1940, en pleine guerre. Comment vivaient vos parents à cette époque ? Mes (...)
C’est la France qui fait ça
« Un jour je vais aller voir » Aux Comores je faisais rien de particulier, j’étais un petit peu à l’école jusqu’en CE2, j’ai arrêté, j’ai travaillé dans les champs avec les parents, j’ai aidé un peu, mais j’avais rien de (...)
Pour l’instant, c’est pas terrible
Koinai : Quelle est votre impression sur les travaux de la rue de la République ? On nous l’avait montrée à coup de plaquettes, d’images 3D... On nous avait montré quelque chose d’assez pharaonique. Mais, là, le résultat (...)
Koinai : Est-ce que les travaux ont apporté un plus à votre commerce ? Au départ, on dirait un moins, parce qu’en fait, la rue était bloquée par les palissades, le tramway, la rénovation du quartier.... Donc, y avait plus (...)
Koinai : Quand vos problèmes ont-ils débuté avec Marseille République ? J’habitais en face, au 50 et, je me rappelle plus, décembre 2004, 2003... J’ai reçu un non renouvellement de bail pour raison de travaux et voilà... (...)
Koinai : Bonjour M. Hedroug, vous habitez au 43 rue de la République ? Exactement, au 43, ça va faire 12 ans. Depuis 97. K : Et vous êtes le dernier occupant de l’immeuble ? Oui, l’immeuble qui est au 43. Et il y a un (...)
Koinai : Quels déchets produit votre structure ? Ce sont des déchets au niveau de la restauration : des restes des plateaux, des cartons, des boîtes en fer, tout ce qui est en rapport avec la restauration. On a aussi (...)
C’est une entreprise qui date de 1964 et nous avons repris l’activité au 1er janvier 2004. Nous sommes quatre, y’a deux ouvriers charpentiers ; nous faisons de la charpente traditionnelle, surtout en bois, mais on fait (...)
On allait beaucoup au Palais Longchamp, bien entendu, c’était la sortie ; le samedi, quand on avait pas classe, c’était le jour des grands-parents, ils nous amenaient au jardin zoologique. Après j’y ai mené ma fille, et (...)
Koinai : Pouvez-vous décrire votre tenue de travail ? C’est un pantalon, il faut qu’il soit en coton parce que comme ça on peut pas se brûler, et en plus un tablier de peau, c’est du porc ; ça nous protège tout le ventre (...)
Koinai : D’où vient le choix de votre activité ? Projet depuis l’école, passionné par l’éolienne, et envie personnelle de travailler dans ce métier. K : Avez-vous été conseillé, guidé ? Par moi-même. J’avais envie de créer (...)
Koinai : Vous faites le tri de vos déchets ménagers ? Étant donné mon handicap visuel, je fais uniquement le tri de des bouteilles, du verre, du papier ; ça oui, je tiens à le faire malgré mon handicap. Malheureusement, (...)
Koinai : Qu’est-ce qui vous amène à donner cette conférence ? Je suis membre du conseil scientifique de Locus Sonus, un laboratoire d’art sonore de l’école d’art d’Aix et de Nice et par l’intermédiaire de ce laboratoire, (...)
Koinai : Quels plats servez-vous dans votre restaurant ? On sert des plats chinois et vietnamiens, mais plutôt typiquement vietnamiens : les phô, banh xeo… les trucs comme ça, quoi. Les banh xeo c’est une crêpe, la (...)
Koinai : Depuis quand Pôle France est-elle établie ici ? Alors, il y avait déjà une activité avec la DIT qui était ici bien avant, mais c’est une structure supplémentaire qui a été rajoutée par la Fédération à partir de (...)
Koinai : Qu’est-ce qu’être une femme pour vous ? C’est beaucoup de peine et d’ennuis au quotidien, et c’est aussi une grande joie... C’est évidemment la vie qui est difficile, il faut travailler, surtout quand on est (...)
Koinai : Que vous apporte votre travail actuel ? Cela me permet de connaître un milieu différent de celui que je fréquentais. J’y trouve des gens fabuleux qui n’ont pas toujours une vie facile et qui se donnent beaucoup (...)
Ah ! ben ça, c’est mon tout petit neveu Gérard qu’on amène à l’école, dans la rue Magali… Oh là là ! Pensez, il a quand même quarante ans, ce petit ! Voilà, ça c’est la fin, voilà ma belle-mère qui récupère un énergumène. Assez (...)
Koinai : Quels produits fabrique-t-on à l’usine ? C’est des produits à base de terre cuite, essentiellement de la tuile, on ne fabrique pas des briques : on ne fabrique que de la tuile spécifique vendue uniquement ou à (...)
- Je m’appelle Ben Ahmed Sabrina, j’ai quinze ans, et j’habite au Plan d’Aou depuis que ch’uis née. Ils vont nous faire habiter dans ceux qu’y vont reconstruire. Sinon, si les gens ils ont pas assez d’sous pour payer, ils (...)
La féminité, biologiquement, je la vis comme une injustice. Avoir ses règles, par exemple. Mais c’est le marqueur de ta jeunesse, de la possibilité de procréer qui s’arrête tôt chez la femme et y’a un décalage entre la vie (...)
Koinai : En quoi consiste votre travail ? On fait le contact avec les navires, donc les bateaux nous appellent, il faut leur indiquer la voie et on fait en sorte que tout se passe bien pour les entrées et sorties de (...)
Les formes 1 et 2 ont été construites sous Napoléon III. Le terme d’accoreur n’existait pas mais en tout cas, on échouait déjà les bateaux et si je ne m’abuse, les Égyptiens avaient déjà des techniques pour échouer leurs (...)
Koinai : Votre activité s’inscrit-elle dans une tradition familiale ? Oh ! non, ce n’est pas une tradition familiale, les Établissements Robert appartenaient au nom Robert. Moi, je suis tombé là-dedans de par la voile. (...)
Koinai : Quel type de femme êtes-vous ? Oh là ! Alors, je suis une femme dynamique, ça c’est sûr. Après, euh… sportive, en général je suis souvent patiente, voilà, en gros ; enfin, je suis une femme active, hè. K : Comment (...)
Koinai : Petite fille, vous maquilliez vos poupées ? N’en parlons pas, c’était un peu un jeu de massacre (rire) ! Je leur faisais même des coupes, hè (rire)… Après c’est plus tard, avec tous mes copains et copines, ils y ont (...)
Koinai : La plupart des produits que vous vendez sont orientaux ? En majorité, les épices viennent un peu de l’Inde, de La Réunion, un peu des Comores, les pâtes viennent un peu de partout, les thés viennent un peu de (...)
Koinai : Quel genre de bateau concevez-vous ? Alors, j’ai plusieurs cordes à mon arc : ma passion au départ, c’était le bateau de plaisance, le voilier. Quand on a commencé en 84, on a fait beaucoup de multicoques, (...)
Comme à Marseille, des restaurants sénégalais y’en avait pas beaucoup, donc on a décidé de montrer les spécialités sénégalaises aux Européens, aux Français qui sont là, aux Marseillais, voilà. Dans notre région, là où on est, (...)
Koinai : Un dictionnaire peut-il susciter le plaisir des mots ? Oui, bien sûr. Alors là, s’il y a un livre qui peut susciter le plaisir des mots, c’est bien celui-là ! Et effectivement, quand j’étais petite, j’aimais (...)
Koinai : Avez-vous suivi une formation ? Oui, en Italie, chez un artisan, pendant quatre ans à peu près, et donc je travaillais d’atelier en atelier de façon à apprendre mon travail sur le tas, quoi ; je suis (...)
Koinai : Pouvez-vous évoquer les apports d’une langue à l’autre, au fil du temps ? Oui, d’ailleurs ça va être le sujet du débat : les emprunts du français aux autres langues et des autres langues à la langue française. (...)
Koinai : Vous avez quelle formation ? À la base, j’ai une formation de journaliste. Je travaillais en presse écrite dans différents quotidiens régionaux et je me suis fait tous les journaux, et je me suis fait virer de (...)
Alors, quand je suis rentrée, on appelait ça "service fret" parce que nous sommes une compagnie de passagers et nous faisons le fret également, c’est notre activité principale. On appelle ça les cargos mixtes. On a deux (...)
Koinai : Comment définis-tu ta féminité ? Je crois que je suis une femme toujours par le plaisir d’un regard sur moi, d’un homme, de la possibilité de… Un peu la coquetterie, le charme, quand on joue de tout ça. C’est (...)
Koinai : À quel âge vous êtes-vous sentie femme ? À quel âge ? C’est difficile… Oh, c’est autour de… Ça se passe entre seize ans et vingt-six ans, c’est… Ça peut être des moments à l’adolescence où là on sent que y’a quelque (...)
Koinai : Quel genre de femme êtes-vous ? Quel genre de femme ? Je suis une battante, hè. Oh ! j’adore travailler. Malheureusement, à la suite d’une agression donc, je suis sur le fauteuil roulant, mais si jamais j’ai de (...)
Quinze avril 1974, quinze avril 2007 : trente-trois ans déjà ! La douleur est toujours aussi forte. J’éprouve la même peine à revenir sur les atroces évènements qui nous ont marqués à jamais, mes frères, ma sœur, et le (...)
Je vis Moussa porté par deux militaires, il était pâle, très pâle, très affaibli. J’étais atterrée, consternée, mais j’ai demandé aux deux militaires où ils l’emmenaient ; ils daignèrent me répondre en précisant qu’ils le (...)
Koinai : Pourquoi avez-vous choisi la France ? Parce que Madagascar est une ancienne colonie française, donc on parle déjà le français, et comme moi j’ai aussi vécu pendant la période coloniale, donc c’était plus facile (...)
Koinai : Effectuez-vous un tri sélectif dans votre pharmacie ? Alors, est-ce qu’on effectue un tri sélectif ? On récupère des médicaments, après qui sont destinés à des associations, donc… ce sera les associations qui (...)
Koinai : Les déchets hospitaliers sont-ils classifiés ? Au niveau des déchets hospitaliers, on considère qu’il y a deux grandes catégories de déchets : ce qu’on va appeler les DASRI (déchets d’activités de soins à risques (...)
Koinai : Effectuez-vous un tri sélectif dans votre établissement ? On fait un tri, nous, sur le verre et le papier. C’est ce qu’on a à disposition (ndlr : les containers) en fait ici, pour faire un tri effectif (...)
Koinai : Comment avez-vous appris le métier ? Sur le tas. Ben, c’est ce gars qui s’est installé, et puis ça s’est naturellement fait. K : Quelles compétences la profession requiert-elle ? Du savoir-vivre ! Ah ! ah ! La (...)
Faire de la musique ailleurs
Koinai : Quelles motivations vous ont poussé à quitter votre pays ? Aucune. K : Comment ça, aucune ? Hem… faire de la musique ailleurs. K : Comment avez-vous planifié votre départ ? Je suis parti pour venir donner des (...)
Koinai : Avez-vous vécu dans d’autres pays que la France ? Oui, j’ai vécu dans plusieurs pays : j’ai vécu en Argentine, j’ai vécu en Algérie, j’ai vécu en Belgique et en Uruguay. K : Quel pays avez-vous le plus aimé ? Je (...)
Koinai : "Santonnier", c’est un métier ? Ouais, c’est un métier. Les santonniers fabriquent deux sortes de santons, les santons habillés, et les santons dits "de crèche", d’argile. Les santons habillés que tout le monde (...)
Koinai : Devenir conteuse, c’est un rêve d’enfant, un hasard, une vocation ? Alors, c’est peut-être la réalisation d’un rêve d’enfant mais pendant longtemps j’ai porté ce rêve sans le savoir. Le hasard ? Oui, si on appelle (...)
La vocation pour le théâtre a dû venir entre huit et dix ans. Mes grands-parents étaient instituteurs, ils avaient toute la collection des classiques Larousse de théâtre et je me souviens que dans la maison de famille de (...)
Koinai : Faire des enfants tôt, c’était pour acquérir un statut d’adulte ? Non, c’était pour avoir des enfants. Je suis fille unique, mes parents étaient enfants uniques. J’ai toujours été gâtée, j’avais aucun problème, au (...)
Koinai : Quel genre de femme êtes-vous ? Ben je suis une femme à maman, j’ai des enfants, je m’occupe beaucoup de mes enfants, je travaille, je suis une femme de maison et une mère au foyer. Je travaille aussi. Voilà. K (...)
Koinai : Pourquoi avez-vous choisi la France ? Je ne sais pas. C’est ma sœur - elle a cinq ans de plus que moi - qui m’a fait venir pour la rejoindre, pour rester avec elle. Je suis venue à Marseille, parce que ma sœur (...)
Koinai : Quand vous êtes-vous dit que vous étiez une femme ? Quand je me suis dit ça ? Eh ben, y’a pas longtemps, y’a pas longtemps du tout. Vraiment une femme… J’ai eu plusieurs étapes parce que quand j’étais (...)
Koinai : Et c’est quoi pour vous, être une femme ? Une femme, elle a beaucoup de choses, la femme. Y’a beaucoup de choses, je peux pas vous expliquer le ça qu’on a nous. C’est une richesse, mais les hommes ils veulent pas (...)
Koinai : Comment se compose votre tenue professionnelle ? Blouse blanche obligatoire - à l’école on avait des blouses roses - pour l’image déjà de sérieux, de compétence et de professionnalisme, je dirais, et ensuite, au (...)
Je suis en pré-retraite, je fais ça pour l’été, moi ça m’occupe, ça me permet de nous voir, de discuter… De se retrouver un petit peu en retrait, c’est un petit peu dur, des fois… Je suis Toulonnais, je suis parti vivre à (...)
Je suis chez moi
Nous, c’est un peu l’ancienne génération, on est issu de la quatrième, cinquième génération. Moi je suis de la quatrième génération, et encore, peut-être même à plus loin, j’en sais rien. Tout ce que je sais c’est que chez (...)
Koinai : Voudriez-vous décrire votre tenue et ses accessoires ? Alors, la tenue est tout à fait libre. Chaque praticien a la possibilité de faire ce qu’il veut dans son cabinet ; la seule contrainte est de respecter les (...)
Mauvaise épouse, bon professeur
J’ai fait mes études à Valence, dans une école privée tenue par des trinitaires. Il y avait pas que des sœurs, il y avait aussi des laïcs. Dans ma famille, les garçons allaient au lycée et les filles dans l’école privée. (...)
Koinai : L’éducation des filles était-elle très différente ? Oh oui ! De toutes façons, de tous temps les garçons regardaient les filles, et les filles regardaient les garçons. Avec des yeux d’enfants, des yeux de jeunes et (...)
Je ne céderai jamais
Koinai : À quel âge êtes-vous entrée dans votre peau de femme ? Quand j’ai commencé un p’tit peu à travailler et quand j’ai commencé à vivre seule. K : Quel type de femme êtes-vous ? Ben, moi je suis une femme de la vie de (...)
Koinai : Comment avez-vous appris votre métier ? Ça, sur le tas, sur le terrain, c’est les anciens qui nous donnent les conseils. J’ai une formation terrain, comment dire, géotechnique et génie-civil, c’est une (...)
Obligée de venir
La situation économique en Équateur n’est pas bonne, y’a beaucoup de pauvreté, on va dire. Ma mère se disait : "Peut-être que je vais jamais m’en sortir." Une tante à moi - une sœur à ma mère - l’a aidée et c’est comme ça (...)
Koinai : L’établissement en France résulte d’un vieux projet ou d’ un accident ? Un accident. Donc c’était en 90 et j’ai travaillé dans une initiative qui était fondée par l’Etat pour travailler avec les immigrés à les (...)
Toujours le maçon
Koinai : Depuis combien de temps travaillez-vous sur ce chantier ? Deux ans, deux ans passés. Depuis le début, au commencement du chantier. K : Pour quelle entreprise ? Eiffage. K : Est-ce un travail difficile ? (...)
Koinai : Pouvez- vous me décrire votre tenue ? On a un blouson avec des galons, des rangers, treillis. Tout ça en bleu marine, qui fait respecter un peu l’autorité. C’est la même chose pour les hommes et les femmes. K : (...)
Koinai : Existe-t-il des codes vestimentaires propres à la profession ? Je ne me suis jamais fait la remarque et je n’ai pas vraiment l’impression. On est douze, treize avec moi, puisque j’ai une demi décharge. Il y a (...)
Les agents de piste doivent pas prendre feu
Bè, je dois dire la vérité, je me suis habituée et c’est un côté rigolo de jouer le rôle, de se mettre un uniforme. Je dois vous dire que l’uniforme ça arrange, hein, parce que le matin, quand je dois aller travailler, je (...)
Notre société est masculin
À Hollande, si tu as des copines qui décident de pas avoir des enfants, on n’est pas bizarre, je veux dire, c’est une femme tout à fait épanouie qui a décidé de ne pas avoir des enfants. En France, ça reste quand même hyper (...)
Koinai : Quel a été votre parcours professionnel ? J’ai commencé à travailler comme rééducatrice pendant six ans dans un centre d’enfants infirmes moteur-cérébraux. Ensuite, j’ai travaillé en Algérie pendant deux ans. Je suis (...)
Koinai : "Jardinière", métier masculin ou féminin ? Dans les espaces verts c’est sûr qu’il y a beaucoup plus d’hommes. Par contre c’est un métier qui se féminise, ça c’est certain. De toute façon les espaces verts ça englobe (...)
S’adapter à la circulation, tout est là
K : Comment avez-vous débuté dans le commerce ? Avec mes parents dans un magasin familial à la rue de Rome. On est arrivé à Marseille en 1953. On avait une affaire : deux frères qui travaillaient avec leur père. On (...)
Konaï : Vous êtes en pleine rénovation de devanture, vous l’a-t-on imposée ? C’est un accord entre notre Direction - puisque la décision a été prise au niveau de la Direction Générale à Paris - et le propriétaire de la (...)
Carrefour République-Dames : une liaison de la ville aux ports Il s’agit de créer des perméabilité entre les ports et la ville. c’est à dire de créée une de créer une continuité urbaine avec l’existant et les nouveaux (...)
Les prémices de l’archéologie, en fait, à Marseille, c’est pas vraiment la rue de la République, ça serait plutôt la construction de la nouvelle Major dans les années 1840-1850. Là y’a les premières constatations (...)
Sur une petite place, la foule se lance à l’assaut des trams. On crie, on rit, on se démène. Les enfants piaillent ; des mères leur répondent avec frénésie. Deux bonnes vieilles, le châle en pointe dans le dos, ont peur et (...)
En premier, la passion de partir
Koinai : Quelle est votre formation initiale ? Ma formation de base ! Je suis un autodidacte. Je viens des périodes fabuleuses des années 70 où on connaissait ni le chômage, ni le sida, ni les préservatifs, c’est (...)
Beaucoup de dames viennent
Koinaï : La rénovation de votre devanture vous a-t-elle été imposée ? Non, on ne me l’a pas imposée, c’est volontaire, c’est un projet que j’avais depuis que j’ai acheté le magasin, ça va faire dix ans le premier mai. J’y (...)
K : C’est décidé, vous rendez la clef ? Décidé ? Quand je n’arrive plus à faire face aux loyers, c’est eux qui décident pour moi de m’expulser ; je suis en tort, puisque c’est moi qui ne suis plus en mesure de faire face aux (...)
On enlève tout, on refait tout
Koinaï : Par quelle entreprise êtes-vous embauché ? Par un président de... sur la rue de la République. On travaille en sous-traitance pour T.B.H., c’est une grosse entreprise de maçonnerie, peinture qui travaille pour (...)
Koinai : Quel est votre itinéraire professionnel ? Je suis rentré le 20 février 68 à la RATVM, la "Régie Autonome des Transports de la Ville de Marseille", au dépôt Saint-Pierre, à l’âge de vingt ans et demi, en qualité de (...)
Koinaï : Le problème de parking se posait-il quand vous étiez à la Joliette ? C’était un petit peu plus serein qu’aujourd’hui, c’est vrai. Le problème de parking s’est posé au Vieux-Port plutôt qu’à la Joliette. En pesant le (...)
Koinaï : Dans quelles conditions êtes-vous venu ? Ha, ça, je ne peux pas vous dire. Ça je ne peux pas vous dire. C’est confidentiel. Je ne peux pas vous dire qu’est-ce-que je vais venir ici. Moi, je veux venir ici pour (...)
Koinai : Quel était votre dernier emploi ? Dernier travail, 2004. Juin 2004, femme de ménage. Société, avec une société de nettoyage. Dans les bureaux. K : Quelles démarches effectuez-vous pour trouver un travail ? J’ai (...)
Éric, la quarantaine, a "depuis toujours" opté pour la moto. D’ailleurs il ne possède pas de voiture : "Parce que la moto, c’est une passion, et puis c’est plus pratique pour travailler". De fait, livreur pour les (...)
Koinai : Depuis combien de temps travaillez-vous sur ce chantier ? Depuis le premier août. K : Sur quel lot travaillez-vous ? Comment ? J’ai pas compris. K : Vous travaillez sur le tramway ? Oui, je travaille sur le (...)
La lettre est arrivée
Chez moi il n’y a pas de travaux prévus. Je suis rentrée dans un appartement où les propretés avaient été faites, mais pas avant mon entrée, plutôt par les locataires précédents. En tout cas c’était très propre. Il n’empêche (...)
Interview de Rosa et Berdj réalisée le 10/05/2005 Koinai : Qu’est-ce qui amène un être humain à quitter sa terre natale ? Rosa : La force, il n’y a que ça. Etre chassé. Quand on vient vous dire : "Partez de cette maison (...)
Et, pour la question des horodateurs qui ont poussé dans le bitume et poursuivent leur comptine de neuf à dix-huit heures, la mairie s’en défera sûrement !... _« Du fait de l’abolition des contraventions, le responsable (...)
Du temps de l’Arménie Je viens d’une famille de fonctionnaires. Mon père a exercé le métier d’architecte pendant quarante-huit ans. Il a occupé le poste de ministre des constructions. Il était membre du PC. J’ai grandi (...)
Priorité : Livrer à tout prix. Actuellement c’est très difficile, dangereux, même, parce qu’il y a les travaux du tramway, un peu de tout, la voie, elle est rétrécie. Avec ça les automobilistes ne sont pas toujours (...)
Koinai : Les transports en commun menacent-ils le marché de l’automobile ? - Non, enfin, je ne pense pas. De toute façon, des voitures, y’en aura toujours, je ne pense pas que ça joue sur la vente. C’est l’évolution, (...)
Koinai : Depuis combien de temps travaillez-vous sur le chantier République ? Ça fait deux mois. K : Est-ce un travail difficile ? Pas difficile, on a l’habitude, ça fait quarante ans ici en France, c’est pas (...)
C’est la loi du plus fort
Janvier 2006, autour de midi, la boulangerie SARL Épi d’Or s’anime. Chadlie Naili, anciennement établi dans le 15ème arrondissement, reçoit ses clients dans le fracas des travaux Euromed. Malgré les soucis, notre homme (...)
Ils sont arrivés à leurs fins
La municipalité est complice, cela fait des années que tout cela est planifié. Je trouve cela scandaleux que l’on foute des gens comme cela dehors et qu’au niveau de la municipalité, on ne fasse rien. Tous de mèche ! (...)
Bientôt l’afflux de clients
Koinai : Depuis combien de temps exercez-vous ici ? - À peu près neuf ans. Nous avons été délocalisés suite aux travaux du tramway. K : Les travaux ont-ils une incidence ? - Oui, bien sûr, ça a toujours eu une (...)
Marseille est très mal désenclavée pour aller à la plage.
Koinai : Que pensez-vous de l’arrivée du tram ? C’est extraordinaire ! Marseille est très mal désenclavée pour aller à la plage. Alors qu’ils sont en train de nous mettre le tramway, là où il y avait déjà de la circulation (...)
Les patrons veulent que ça aille vite
Koinai : Combien de tailleurs de pierre trouve-t-on sur le chantier ? Trois. Seuls quelques travaux nécessitent des connaissances. Pour le reste, pas besoin de formation. C’est un travail d’usine pour des maçons et (...)
Koinai : Pourquoi, à l’instar de Strasbourg, Marseille ne s’est pas mise au vélo ? Michel Escoffier : Strasbourg a de tout temps eu une fréquentation de vélos importante, beaucoup plus importante que toutes les autres (...)
Les horodateurs, ils commencent à être payants.
Koinai : Quel est votre moyen de transport ? - La voiture. Uniquement la voiture, et mes deux jambes aussi, oui, ça m’arrive. K : Que pensez-vous du tramway ? - Apparemment, il y a un petit souci, si j’ai bien (...)
Koinai : Les travaux vous gênent ? - On prend les raccourcis. On connaît Marseille par coeur, pratiquement. K : La circulation, lors de vos interventions ? - Y’a beaucoup de circulation, sauf pendant les vacances (...)
Travaux de la place Sadi-Carnot Mise en œuvre du programme de la Communauté Urbaine Marseille Provence Métropole pour la construction du Tram. La rénovation entraine la disparition des commerces de proximité et de ses (...)
Ils ne sont plus que trois ou quatre dans la région à exercer cette profession qui ne nécessite ni CAP d’ ouvrier spécialisé, ni autre qualification, mais du métier. Un savoir qui se transmet par la pratique. Michel (...)
Aujourd’hui, Panzani demeure la seule grande entreprise du genre à Marseille et en France. L’usine, implantée à La Valentine, n’est pas visitable, pour cause de plan Vigipirate. De même pour la semoulerie de Bellevue. (...)
Koinai : Qu’attendez vous des échanges affectifs avec un homme ? Valérianne : La plénitude, le bien être ! Ils aident la femme à se construire. Malgré cela, certaines prétendent être épanouies en vivant seules. Peut-être (...)
Koinai : Que représente pour vous la femme ? Moi-même, déjà, puisque j’appartiens à ce sexe biologique. Actuellement, par le biais de mon travail, j’entends et vois une personne qui prend en charge beaucoup de choses tant (...)
"Je suis une femme, pas encore pleinement accomplie, mais je me sens femme". Célia habite avec ses parents, mais vit la semaine dans un studio, ce qui lui confère une autonomie et un minimum de responsabilités. (...)
Koinaï : Pour vous, c’est quoi, être une femme ? Une femme, biologiquement, est distincte de l’homme par son aspect physique. Socialement, ça dépend où ça se passe. Une femme en Occident ne sera pas la même qu’une femme en (...)
Koinai : Votre travail vous plaît-il ? Oui. J’ai mis du temps à exercer puisque lorsque je suis arrivée à Marseille, j’avais à peine 18 ans. J’ai fait des études de lettres, jusqu’au DEUG. Je n’étais pas vraiment (...)
Koinai : Pouvez-vous vous présenter ? Je m’appelle Rugo, je suis d’origine antillaise, je travaille à l’ANPE et je suis mère d’un enfant de cinq ans. K : Pour vous, c’est quoi être une femme ? Être une mère, travailler, (...)
Koinai : Comment passez-vous vos journées ? Je passe mes journées avec mes enfants et je fais les commissions. Le matin, je vais avec mon mari faire les papiers et quand on revient, je prépare le déjeuner pour mes (...)
Koinai : Que représente la femme pour vous de nos jours ? De nos jours les conditions de la femme ont évolué par rapport aux années soixante. Elle est plus libérée, plus indépendante. En général, un grand nombre de femmes (...)
Koinai : Que représente la femme pour vous ? Depuis la nuit des temps, ça a toujours été, dans un sens, l’esclave de l’homme. On donne beaucoup, pour peu de récompense. Il faut travailler, il faut assumer le dedans, le (...)
Koinai : Qu’est-ce qu’être une femme, pour vous ? Être une femme ? C’est à peu près remplir trois rôles et c’est ce qui est très difficile à faire : maman, femme, femme d’affaires. Les trois ensemble, c’est très difficile à (...)
A la fin du parloir avec mes deux frères, nous remontons à la fouille. Ensuite, on nous propose de remonter en cellule ou de retourner en promenade. Ceux qui rentrent doivent se mettre du côté gauche, et ceux qui (...)
Les santons Arterra Cette boutique artisanale existe depuis neuf ans. Elle emploie quinze personnes. Onze travaillent en atelier et quatre en magasin. L’accueil y est très chaleureux. Pour assister à la fabrication (...)
Aujourd’hui je me sens... pas en forme Je n’oublierais jamais... mon fils Il faut que j’arrête... d’être en retard Le bonheur c’est simple... c’est nous qui décidons de notre bonheur Quand je suis triste je suis... (...)
...Le lendemain, tout le monde essaie de me remonter le moral, mais après une nuit, ça va beaucoup mieux. Je me suis mis en tête que j’ai déjà l’avantage de savoir combien j’ai pris et que je sais ce qu’il me reste à faire. (...)
...Il y a trois filles dans la cellule qui sont là depuis sept heures ce matin. Elles viennent des geôles du commissariat où elles ont passé vingt-quatre heures. La conversation s’engage très vite : “Pourquoi tu es là, (...)
Je regrette de... Que nous livrent ces femmes à propos de leurs remords ? Bien souvent, elles regrettent un plan de carrière qu’elles pensent ne pas pouvoir atteindre pour des raisons d’études inachevées. Allons, il (...)
On ne peut pas dire que ces femmes fassent des confidences vraiment "croustillantes" ou un profond examen de conscience, mais il ressort de leurs réponses (courtes) une part d’elles-mêmes qui ne peut nous laisser (...)
Aujourd’hui, je me sens... en forme, ça va ! Je n’oublierai jamais... la famille. Le bonheur, c’est simple... comme bonjour ! Je suis fière... de moi. Le plus bel homme du monde c’est... Sylvester Stallone. Quand j’étais (...)
Approche historique C’est au chevalier De Noailles, qui occupait un superbe hôtel dont il reste aujourd’hui un balcon en fer forgé et une fontaine en forme de vasque visibles dans la cour de l’immeuble situé au n°13 du (...)
Dans la pratique, les usagers ne savent pas toujours pourquoi il est interdit dans son groupe de référence de ne pas consommer tel aliment. Prenons l’exemple de l’interdit porté sur la viande de porc en islam. Parmi les (...)
"Mon mari pensait déjà à l’export. Moi, je trouvais cette idée idiote, lance Laurence Brunat tout sourire. Avec un père et un grand-père qui étaient du sérail, son conjoint Serge Brunat sortait d’un moule à savon. Lui-même (...)
À la veille de la Seconde Révolution Industrielle, Napoléon III comprend l’importance de développer la cité phocéenne, dont la position face à un continent que l’on a commencé à coloniser est stratégique. En témoigne (...)
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