La Barasse Belle de Mai Bon-Secours Les Borels La Cabucelle Les Caillols Le Camas Les Camoins Le Canet Carpiagne Les Chartreux Chutes-Lavie La Conception Les Crottes La Delorme Endoume Les Goudes Les Grands Carmes Lodi Mazargues La Millière Montolivet Montredon Les Mourets Noailles Notre-Dame du Mont Notre-Dame Limite Les Olives Opéra Palais de Justice Palama La Panouse Périer Le Pharo La Pointe Rouge La Pomme Pont-de-Vivaux Les Riaux Le Roucas Blanc Le Rouet Saint-André Saint-Antoine Saint-Barnabé Saint-Charles Sainte-Marthe Saint-Henri Saint-Jean du Désert Saint-Just Saint-Lambert Saint-Lazare Saint-Louis Saint-Mitre Saint-Victor Vauban Vaufrèges Verduron Vieille Chapelle 13001 13002 13003 13004 13005 13006 13008 13009 13013 13015 13016 Alimentation Altérité amour Artisanat beauté Créativité Éducation Famille Fierté Habillement Habitat indépendance Langue Littérature Parentalité Passion Pêche Plaisir Précarité Rénovation sérénité Solidarité Tradition Travail violence
Gabi Wagner plongée dans l’eau-forte
Sous le signe de la gravure
Comme le Rhin descendant le Rhône, l’esprit du Bauhaus souffle sur Marseille. Gabi Wagner, artiste graveur allemande originaire de la Sarre a étudié le graphisme à l’école des arts appliqués de Sarrebruck auprès de professeurs héritiers du grand mouvement précurseur du design contemporain. Elle nous reçoit dans son atelier de la rue Léon Bourgeois où elle nous parle de ses techniques, de son oeuvre... sa rencontre avec Marseille la chaotique où elle s’est installée et dans laquelle elle puise aussi ses matériaux. Son travail est marqué par la couleur, le vif, en accord avec les traits, les formes et les textures, c’est « la gravure du vivant », l’empreinte d’une inspiration biologique, germée de l’acide et du zinc. Une eau-forte tant expérimentale que créative et pleine d’imprévus...
|
||
| La revue Koinai : qui et pourquoi ? | Koinai ? | Mentions légales | Appel à contribution Plan du site |
